Personne ne me l’a demandé, mais par sympathie, par révolte, par nervosité, par curiosité, j’ai traduit ce poème épique, drôle et triste de Layli Long Soldier sur les Dakota 38, dont l’original anglais se trouve ici, onbeing.org/poetry. Par hasard il rappelle les événements d’un 26 décembre.
Ici, la phrase sera respectée.
Je composerai chaque phrase avec soin, conservant à l’esprit ce que les règles de l’écriture édictent.
Par exemple, toutes les phrases commenceront par une majuscule.
Toutes les sentences commenceront par une capitale.
De même, l’histoire dans la phrase recevra les honneurs d’une ponctuation appropriée en son extrémité, un point ou un point d’interrogation qui marquera l’accomplissement (temporaire) d’une idée.
De même l’histoire de la sentence…
Il vous importe peut-être de savoir que je ne considère pas ceci comme une « création ».
En d’autres mots, à mes yeux, il ne s’agit pas d’un poème inspiré ou d’une œuvre de fiction.
D’ailleurs, on n’y théâtralisera pas les événements historiques pour les rendre passionnants.
Donc, ma responsabilité s’exerce surtout sur la phrase, sur son ordre, elle qui convoie la pensée.
Ces préalables achevés, je commence :
Il est possible qu’on vous ait déjà parlé des 38 Dakotas.
Si c’est la première fois qu’on vous en parle, vous vous demandez sans doute, que sont les « 38 Dakotas » ? Continuer la lecture de « « 38 » un poème de Layli Long Soldier »
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