Alors que non loin de la Rouvre
les chênes fleurissent
sans grand tintamarre
je rêve à une énigme
que je ne résoudrai pas
Le secret du chêne rencontre celui des Celtes
dont la religion est surtout connue
par ceux qui les ont colonisés
Maxime de Tyr, Grec du deuxième siècle
sur qui l’on ne sait presque rien
écrit dans sa huitième dissertation
Faut-il représenter les Dieux sous des emblèmes sensibles ?
Κελτοὶ σέβουσιν μὲν Δία,
ἄγαλμα δὲ Διὸς Κελτικὸν ὑψηλὴ δρῦς
que l’on a traduit par
« Les Celtes adorent Jupiter,
et le Jupiter des Celtes est un grand chêne »
Mais Maxime écrit plus précisément
« L’agalma de Zeus est un grand chêne »
Faut-il comprendre « statue », « offrande »
« emblème » ou « image » ? Continuer la lecture de « Le chêne de l’énigme »