Je suis grand ennemi des mouches, quia sunt imago diaboli et haereticorum ; elles sont l’image du diable et des hérétiques. Lorsque j’ouvre un bon livre, les mouches accourent et se posent, se promènent dessus, comme si elles voulaient dire : « Nous sommes là et nous souillons ce livre de nos excréments ! » Le diable en agit de même ; lorsque nos cœurs sont le plus purs, il vient et il les souille. Quand ma ferveur est bien ardente et que je suis le plus disposé à la prière, le diable accourt et il emporte mes pensées jusqu’à Babylone peut-être, où je me mets à construire des châteaux en l’air.